Antoine Moreau, « Ce que fait le copyleft à l’autorité tonitruante de l’auteur », Pratiques n°21, Automne 2010, Presses Universitaires de Rennes. Copyleft : ce texte est libre, vous pouvez le copier, le diffuser et le modifier selon les termes de la Licence Art Libre http://www.artlibre.org
Introduction
Tout ce qui n’est que pour l’auteur ne vaut rien1.
Les droits de l’auteur issus des logiciels libres sont-ils en phase avec les pratiques discrètes de l’art contemporain ? Prolongent-ils le trait propre à l’auteur pour l’ouvrir à l’altérité des auteurs ?
Copyleft
Le copyleft est une notion juridique issue des logiciels libres qui s’appuie sur la législation en vigueur pour garantir à l’utilisateur quatre libertés fondamentales :
– La liberté d’exécuter le programme, pour tous les usages (liberté 0).
– La liberté d’étudier le fonctionnement du programme, et de l’adapter à vos besoins (liberté 1). Pour ceci l’accès au code source est une condition requise.
– La liberté de redistribuer des copies, donc d’aider votre voisin, (liberté 2).
– La liberté d’améliorer le programme et de publier vos améliorations, pour en faire profiter toute la communauté (liberté 3). Pour ceci l’accès au code source est une condition requise2.
Le copyleft va rendre pérenne ces libertés : on ne peut s’approprier de façon exclusive une œuvre créée sous copyleft. Ce qui est à chacun, est à tous ; ce qui est à tous, est à chacun.
Le copyleft indique que quiconque les redistribue, avec ou sans modifications, doit aussi transmettre la liberté de les copier et de les modifier. Le copyleft garantit cette liberté pour tous les utilisateurs3.
1989 voit la rédaction de la première licence copyleft, la General Public License4. Les premières créations copyleft ont été des logiciels, s’inscrivant dans le projet GNU5 de la Free Software Foundation6 qui a vu le jour à l’initiative de Richard Stallman en 1985.
En janvier et mars 2000 nous organisons à Paris les Rencontres Copyleft Attitude7. Elles aboutissent à la rédaction de la Licence Art Libre8. « Art » s’entend comme excédant le seul domaine de l’art. La Licence Art Libre convient pour toutes sortes de productions de l’esprit à partir du moment où celles-ci sont protégées par le droit d’auteur.
Avec la Licence Art Libre, l’autorisation est donnée de copier, de diffuser et de transformer librement les œuvres dans le respect des droits de l’auteur.
Loin d’ignorer ces droits, la Licence Art Libre les reconnaît et les protège. Elle en reformule l’exercice en permettant à tout un chacun de faire un usage créatif des productions de l’esprit quels que soient leur genre et leur forme d’expression.
Si, en règle générale, l’application du droit d’auteur conduit à restreindre l’accès aux œuvres de l’esprit, la Licence Art Libre, au contraire, le favorise. L’intention est d’autoriser l’utilisation des ressources d’une œuvre ; créer de nouvelles conditions de création pour amplifier les possibilités de création. La Licence Art Libre permet d’avoir jouissance des œuvres tout en reconnaissant les droits et les responsabilités de chacun.
Elle s’appuie sur le droit français, est valable dans tous les pays ayant signé la Convention de Berne. Traduite en plusieurs langues pour faciliter sa compréhension, elle ne nécessite pas d’adaptation à la législation des auteurs résidant hors du territoire français et désireux de l’utiliser9.
L’autre de l’auteur.
Selon l’étymologie, est auteur, le créateur d’une oeuvre qui augmente le patrimoine artistique ou littéraire (du latin augere qui veut dire augmenter, accroître et qui a donné le participe passé auctus et le substantif auctor10).
Mais si l’auteur est bien « celui qui accroît ce qui existe déjà » il est également celui qui fait autorité. Entre l’augmentation des ressources communes et l’autorité singulière de celui qui se pose en créateur, il y a dialogue contradictoire et qui ne trouve sa résolution que dans la fiction juridique qui va faire valoir ses droits.
Le copyleft vient, en intelligence avec le numérique et l’internet, excéder l’autorité de l’auteur. Sans la nier, il ne s’agit pas de la simple « mort de l’Auteur » où « donner un Auteur à un texte, c’est imposer à ce texte un cran d’arrêt, […] c’est fermer l’écriture »11, mais bien plutôt de reconnaître la naissance des auteurs, leur multiplication et leur puissance d’augmentation.
Ce qui a lieu avec le copyleft c’est la redécouverte, à l’ère des technologies de l’information et de la communication, de ce qui fait tout simplement évènement dans le langage. Son extériorité radicale et irréductible au propre, sa mise en commun par le fait même de parler, de s’exprimer car,
parler c’est rendre le monde commun, créer des lieux communs. Le langage ne se réfère pas à la généralité des concepts, mais jette les bases d’une possession en commun. Il abolit la propriété inaliénable de la jouissance. Le monde dans le discours, n’est plus ce qu’il est dans la séparation – le chez moi où tout m’est donné – il est ce que je donne – le communicable, le pensé, l’universel12.
Ainsi, le copyleft renouerait-il avec l’effectivité et la simplicité de la transmission orale. C’est avec ce don gracieux que fait le langage, que font les langages (nous y incluons les images, les sons, etc.), que se découvre la beauté d’un geste libre.
Cette beauté n’est pas tapageuse mais partageuse. Elle ne s’approprie pas le monde mais s’abandonne au monde tel qu’il se donne lui-même. Un amor fati13, cet amour du destin qu’affirme l’auteur du Gai savoir lorsqu’il écrit :
Je veux apprendre toujours davantage à considérer comme beau ce qu’il y a de nécessaire dans les choses : – ainsi je serai de ceux qui rendent belles les choses. Amor fati : que cela soit dorénavant mon amour.
Cet amor fati est sans finalité et s’ouvre et ouvre sans fin. Ce qui a lieu c’est un passage, le laisser-passer du créé dans l’incréé, ce que Simone Weil aura qualifié de « décréation » :
Décréation : faire passer du créé dans l’incréé.
Destruction : faire passer du créé dans le néant. Ersatz coupable de la décréation14.
[…]
La création : le bien mis en morceaux et éparpillé à travers le mal.
Le mal est l’illimité, mais il n’est pas l’infini.
Seul l’infini limite l’illimité15.
Cette décréation qui passe et fait passage ne marque pas, est à peine remarquable, elle ne s’achève pas dans la trace mais ouvre sur ce qui peut être une histoire. Ce qui a lieu c’est le temps. Une traversée qui excède le lieu où « rien n’aura eu lieu que le lieu »16. Ce qui se passe c’est l’espace d’un sentiment.
Quand je suis quelque part, je souille le silence du ciel et de la terre par ma respiration et le battement de mon cœur17.
Si le retrait de l’auteur fait la réelle présence18 des œuvres, nous devons chercher la qualité certaine de ses œuvres chez ceux des auteurs qui ont le trait discret.
Des ouvres d’art.
Appelons « ouvre d’art » une œuvre qui outrepasse sa propre finition et définition. Ce que le copyleft pose a priori (et non a postériori par une cession de droits) en légalisant la copie, la diffusion et la transformation c’est l’altérité au risque de l’altération. Ce risque est une responsabilité vis-à-vis d’autrui. Ce qui est envisagé c’est une éthique, non une esthétique qui achève l’art19. Une ouvre d’art est un passage avec passation de pouvoirs. C’est une transmission, une tradition qui permet l’exercice de libertés communes entre les uns et les autres.
Voyons maintenant quelques exemples de pratiques artistiques discrètes et ouvertes. Commençons par notre propre recherche pour montrer ce qui nous a mené à nous intéresser au copyleft.
Des pratiques protocopyleft.
Le pris de l’ame ne consiste pas à aller haut, mais ordonnéement.
Sa grandeur ne s’exerce pas en la grandeur : c’est en la mediocrité20.
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Les sculptures confiées :
Nous confions un objet, plus ou moins de notre réalisation, nommé « sculptures », à certaines personnes de rencontre. Nous demandons à ce qu’il soit confié également à quelqu’un d’autre, qui le confiera aussi et ainsi de suite, sans qu’il n’y ait de propriétaire définitif ni de point de chute final. Cet objet traverse les personnes et les lieux et le temps. Il est exposé à tout ce qui peut se passer, il ne s’expose pas comme œuvre de collection mais comme ouvre de passages.
« Passages »21 est d’ailleurs le titre donné à un texte écrit à quatre mains suite à la sculpture confiée n°570 à Sophie Gosselin en septembre 2006, un clef USB contenant des dialogues de Paule et Paul22. Confiée à nouveau à Esther Salmona en juillet 2009, elle donnera lieu à la réécriture d’un dialogue de Paule et Paul par Sophie Gosselin & David gé Bartoli et Esther Salmona & Guillaume Fayard. Publié dans le numéro 8 de la revue d’art Laura23 en octobre 2009.
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La peinture de peintres :
Nous proposons à des peintres de se peindre les uns par dessus les autres. Cette peinture n’a pas de fin, pas d’image arrêtée. C’est la peinture sans fin par la fin de la peinture. Ce n’est pas la fin de la peinture c’est la peinture infinie. Chaque couche de peinture fait disparaître, entièrement ou en partie, la couche précédente. Restent des traces photo. Les peintures sont réalisées gracieusement par les peintres, une beauté du geste qui fait l’infini d’une peinture toujours possible. Une peinture passible, passable, manifestant là les qualités discrètes et discréditées de la médiocrité, qualités qui passent par le milieu sans avoir de compte à rendre à un maître-étalon. Ce discrédit porté à ce qui est moyen s’oppose au discret car il nie la réelle qualité de ce qui n’apparaît pas de qualité. La beauté du geste gracieux qui s’accomplit librement et désintéressé. Sans intérêt. Des peintures faites, non pas par dessus la jambe, mais avec la beauté du geste gracieux.
Un art contemporain ouvert
Je ne demande rien. Je voudrais laisser à tout le monde le maximum de liberté. Certaines propositions ont été réalisées par moi, d’autre non : si le spectateur préfère l’objet à l’idée, il choisira. Il pourra aussi le réaliser lui-même. Tout est ouvert26.
Cette ouverture discrète nous pouvons la repérer dans l’art contemporain des années 70. Par exemple avec Ian Wilson27, qui sculpte sa parole en objets de discussion ou stanley brouwn28 qui fait de la marche à pied la mesure d’un art échappant à toutes prises, mis à part quelques documents et le moins possible. Plus récemment, Tino Sehgal29, dont les pièces sont des événements sans traces aucunes, ni photographiques, ni communiqués de presse, juste le fait d’art, simple comme une transmission orale.
Des œuvres copyleft.
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GNU/Linux :
Système d’exploitation libre sous licence GPL, comparable à Windows ou MacOS, Linux est un logiciel libre de type copyleft parmi les plus connus et réputés. En 1999, Linus Torvalds, initiateur du logiciel, reçoit le 1er Prix du Festival « Ars Electronica », catégorie internet30. Pour la première fois, une mécanique opératoire, loin de toute intention esthétique, était considérée comme œuvre d’art.
Ce sont précisément ces qualités excédant celle de l’art conventionnel qui ont forcé l’admiration du jury. Admiration pour un objet réalisé gracieusement par des milliers d’auteurs répartis sur la planète et reliés au net pour fabriquer un logiciel qu’aucune entreprise n’aurait pu mettre en chantier aussi rapidement et sans moyens financiers au départ. Cet impossible et toute forme qui en procède est bien un fait d’art.
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Wikipedia :
« Wikipédia (prononcé /wi.ki.pe.dja/) est une encyclopédie multilingue, universelle, librement diffusable, disponible sur le web et écrite par les internautes grâce à la technologie wiki. Elle a été créée en janvier 2001 et est devenue un des sites web les plus consultés au monde31. »
Fondée par Jimmy Wales, cette encyclopédie reprend les principes du logiciel libre où chacun peut enrichir un bien commun. Mis au départ sous la licence utilisée pour la documentation des logiciels, la GFDL32, elle est depuis fin 2009 passée en Creative Commons by-sa 3.033, licence copyleft équivalente à la Licence Art Libre. C’est une œuvre emblématique de l’internet et des capacités de création lié à son ouverture.
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Art Libre :
Nous entendons par « art libre » toutes productions de l’esprit réalisée selon les principes du copyleft34. Avec une préférence pour la Licence Art libre qui est recommandée par le projet GNU35.
Ce sont des œuvres qui se rendent à la discrétion d’autrui. Elles s’offrent à qui veut bien y porter attention. Cette discrétion est un consentement, non une abdication ; c’est une disposition d’esprit qui considère autrui comme une altération de l’ego et ainsi sauve de l’enfermement identitaire.
Plutôt que de choisir telle ou telle œuvre en Licence Art Libre nous allons prendrons le cas d’un travail non libre au départ et qui trouva un développement copyleft. Il s’agit d’une phrase d’Eric Watier, artiste discret s’il en est,36 proposée pour « Tool-Box »37, un dispositif d’œuvres à actualiser par les visiteurs. Nous l’avons réalisé suivant les directives de l’auteur : « Écrire en vinyl transparent sur un support lisse : « Sur ces mots il y a peut-être votre regard ou peut-être pas. » ».
Nous avons mis, avec l’accord d’Eric Watier, cette réalisation ainsi que sa trace photo en copyleft avec la Licence Art Libre. Il s’est passé ceci ensuite : cette réalisation s’est trouvée produite par le Centre d’Art Contemporain d’Ivry, dans un panneau publicitaire lors d’une exposition.
Entre nous aura pu passer alors l’institution d’un art en mouvement, aura pu se transmettre, via un objet momentanément stoppé dans ses réalisations, une forme que la Licence Art Libre aura libéré de la finitude. Nous employons à escient le mot « institution » car il s’agit bien, avec le copyleft, via un contrat juridique, d’instituer un rapport, de la même façon que le langage nous institue les uns vis-à-vis des autres.
Action.
Loin d’être une défection de l’acte dit « de création », les pratiques discrètes sont des actes « en création », c’est-à-dire en passe d’incréation. Elles sont dans cette économie du faire acte. Ce sont des passages à l’acte, des actes de passage.
Passage du présent, comme un don, doués que nous pouvons être d’une réelle présence quand d’ordinaire,
nous ne nous tenons jamais au temps présent. Nous anticipons l’avenir comme trop lent à venir, comme pour hâter son cours, ou nous rappelons le passé pour l’arrêter comme trop prompt […]. C’est que le présent d’ordinaire nous blesse40.
L’auteur, avec le copyleft comme principe de création ouverte à la décréation et à l’infini, jouit d’une présence prégnante, un temps où l’apparaître se confond avec le disparaître.
Ce qui a lieu alors n’est plus la fabrique d’une preuve autoritaire mais celle d’un passage ouvert à l’augmentation des auteurs et des œuvres possibles. À lieu un mouvement de la création où ce qui fait œuvre est ce qui ouvre un passage.
1PASCAL, Pensées, fragment 659, éd. M. Le Guern, Gallimard, Folio, 1977, p. 405.
2« Définition d’un logiciel libre », http://www.gnu.org/philosophy/free-sw.fr.html (page visitée la 19.01.10).
3« Qu’est-ce que le copyleft ? » http://www.gnu.org/copyleft/copyleft.fr.html (page visitée la 19.01.10).
4« GNU General Public License » http://www.gnu.org/licenses/gpl.html (page visitée le 25.01.10).
5GNU Operating System http://www.gnu.org/home.fr.html (page visitée la 19.01.10).
6Free Software Foundation http://www.fsf.org/ (page visitée la 19.01.10).
7Avec un groupe d’artistes réunis autour de la revue Allotopie : François Deck, Emmanuelle Gall, Antonio Gallego et Roberto Martinez.
8Rédigée, avec les participants de la liste de diffusion copyleft_attitude@april.org, par Mélanie Clément-Fontaine, David Géraud, juristes, et Isabelle Vodjdani, Antoine Moreau, artistes ; puis avec Benjamin Jean, juriste, en remplacement de David Géraud pour la version 1.3.
9Préambule de la Licence Art Libre, https://artlibre.org/licence/lal/ (page visitée le 19.01.10).
10Qu’est-ce qu’un auteur ? « 4. Généalogie de l’autorité », Cours d’A. COMPAGNON, http://www.fabula.org/compagnon/auteur4.php (page visitée le 19.01.10).
11R. BARTHES, « La mort de l’Auteur », Le bruissement de la langue, Seuil, 1984, p. 68.
12E. LEVINAS, Totalité et infini, essai sur l’extériorité, Librairie Générale française, Paris, 2003, p. 74.
13F. NIETZSCHE, Œuvres, Le gai savoir, livre quatrième, paragraphe 276, Robert Laffont, Bouquins, 1993, trad. H. Albert révisée par J. Lacoste, p. 165.
14 S. WEIL, La pesanteur et la grâce, Plon, Agora, 1947 et 1988, p. 81.
15Idem, p.130.
16S. MALLARMÉ, Igitur, Divagations, Un coup de dés, « Un coup de dés jamais n’abolira le hasard », Gallimard, 1914, 1976, p. 426-427.
17Idem, p. 95.
18G. STEINER, Réelles présences, les arts du sens, Gallimard, Folio, 1994.
19HEGEL, Esthétique, textes choisis par Claude Khodos, PUF, Paris, 1953, 2004, p. 23.
20Montaigne, Œuvres complètes, Essais, Livre III, ch. 2, Gallimard, Pleiade, 1962, p. 787.
21« Passages », http://uggug.info/doku.php?id=passages (page visitée le 26.01.10).
22Paule et Paul, http://antoinemoreau.org/index.php?cat=Paule (page visitée le 26.01.10).
23Revue qui aura omis de mettre la mention copyleft qui indique que « Passages » est libre selon les termes de la Licence Art Libre. Un correctif devrait être fait dans le numéro 9. Laura n°8, http://groupelaura.free.fr/LAURA8.html (page visitée le 26.01.10).
24Sculpture confiée 570, http://www.antoinemoreau.org/index.php?art=1967 (page visitée le 26.01.10).
25Peinture de Fabrice Hyber réalisée en janvier 2010 sur peinture de Miguel-Angel Molina réalisée en octobre 2007 sur peinture de… La totalité des peinture (29 à la date de rédaction de ce texte) http://antoinemoreau.org/index.php?cat=peintpeint (page visitée le 26.01.10).
26George Brecht, cité par Eric Watier, sans indication de source, « L’œuvre discrète », http://www.ericwatier.info/ew/index.php/loeuvre-discrete (page visitée le 19.01.10).
27« Tout art est information et communication », avance I. Wilson qui confirme avoir « choisi de parler plutôt que de sculpter », http://www.mamco.ch/artistes_fichiers/W/wilson.html (page visitée le 20.01.10).
28Stanley Brouwn, Larousse, http://www.larousse.fr/encyclopedie/peinture/Brouwn/151317 (page visitée le 20.01.10).
29A. BLANCHARD « This is so contemporary ! Les « situations construites » de Tino Seghal », Horsd’œuvre n°4, 15.09.09, http://interface.art.free.fr/spip.php?article252 (page visitée le 20.01.10).
30 http://www.aec.at/en/archives/prix_archive/prix_projekt.asp?iProjectID=2183 (page visitée le 22/03/06).
31Wikipedia , définition de « Wikipedia » http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikipedia (page visitée le 26.01.10).
32GNU Free Documentation licence http://www.gnu.org/licenses/fdl-1.2.html (page visitée le 26.01.10).
33CC Attribution-Share Alike 3.0 Unported, http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0 (page visitée le 26.01.10).
34Pour la création hors logiciel la licence Creative Commons sa + by et la Licence Art Libre sont les plus appropriées . « Les licences copyleft » http://fr.wikipedia.org/wiki/Copyleft#Les_licences_Copyleft (page visitée le 27/03/06).
35« Licenses » http://www.gnu.org/licenses/licenses.html (page visitée le 27/03/06).
36Travaux discrets , http://www.ericwatier.info/ew/index.php/travaux-discrets (page visitée le 19.01.10).
37Exposition du 8 novembre au 20 décembre 2008 à la base d’Appui d’Entre-deux, Nantes. http://antoinemoreau.org/index.php?cat=expo6.8 (page visitée le 20.01.10).
38Réalisation de la proposition http://antoinemoreau.org/index.php?art=1783 (page visitée le 20.01.10).
39« Sur ces mots il y a peut-être votre regard ou peut-être pas. », Antoine Moreau, janvier-avril 2009, d’après Eric Watier, « Travaux discrets », 1981/2008 etc., celui-ci : « Écrire en vinyl transparent sur un support lisse : « Sur ces mots il y a peut-être votre regard ou peut-être pas. » », proposé pour Tool Box.
Mise en place dans un panneau Decaux à l’occasion de l’exposition « Urban Ping Pong, Didier Courbot, Éric Hattan, Tool Box », Galerie Fernand Léger, Ivry sur Seine, du 17 avril au 14 juin 2009. Production : Centre d’art contemporain d’Ivry, Le Crédac.
Copyleft : Antoine Moreau, 16 avril 2009, cette photographie est libre, vous pouvez la copier, la diffuser et la modifier selon les termes de la Licence Art Libre https://artlibre.org
40PASCAL, op. cit., fragment 43, p. 81.